10 actus feel good pour finir l’année en beauté

Il paraît que nous aurions davantage tendance à retenir ce qui est négatif plutôt que ce qui est positif…
Et si nous décidions de changer les choses en nous nourrissons d’informations qui font du bien au lieu de nous laisser plomber par des nouvelles peu réjouissantes ?
Voici une sélection d’actions « feel good » pour finir l’année en beauté et bien commencer la nouvelle…

Fou rire
On connaît déjà les bienfaits du rire, ne serait-ce que la joie et la bonne humeur qu’il procure. Il offre aussi un profond bien-être (voire un effet antidouleur) dû à des molécules opiacées qui inondent le cerveau. De plus, éclater de rire est l’équivalent d’un exercice musculaire involontaire et répété, qui, comme tout effort physique libère des endorphines.
Idéalement, pour en tirer un maximum de bienfaits, nous devrions rire franchement 15 minutes par jour.
Un défi à relever en 2016 ?

Longue vie
En 20 ans, l’espérance de vie moyenne dans le monde, pour les hommes comme pour les femmes, a augmenté de 6 ans. Elle est ainsi passée de 65,3 en 1990 à 71, 5 ans en 2013. Nous avons donc encore de belles années devant nous. A nous d’en tirer le meilleur parti possible (résultats d’une étude parue dans le journal The Lancet).

Les règles d’or
Si les femmes se plaignent de leurs règles chaque mois, ces dernières ont pourtant comme avantage de les préserver de certaines pathologies, en leur évitant un excès de fer, très délétère.  En effet, cet excès de fer notamment dû à la consommation de viande, serait incriminé dans la survenue de maladies cardio-vasculaires et de certains cancers.
Rappelons aussi que les naturopathes considèrent l’utérus comme un émonctoire secondaire, autrement dit une porte de sortie permettant l’évacuation de toxines via le sang des règles. Ces menstruations sont donc à considérer sous un autre angle.

C’est moi qui l’ai fait
Le fait maison ou D.I.Y (Do It Yourself) n’a jamais été aussi tendance, à tel point que l’on recense par moins de 550 000 blogs qui lui sont dédiés, qui plus est, avec le plus souvent à leur origine des créateurs âgés de 30 ans en moyenne.
Et au-delà de la satisfaction de réaliser de ses mains des objets pour soi-même, ou mieux, pour les offrir à ses proches, tous les loisirs créatifs ont comme autres bienfaits de développer notre confiance, de nous détendre et de contribuer à notre sérénité.
Créer de ses mains est une excellente forme d’expression sans limite, une source d’épanouissement qui contribue à positiver en renouant avec le plaisir de faire soi-même.
Enfin, fabriquer de ses mains développe en plus la concentration et fait appel à la créativité.
Alors que soit en cuisine, en couture, en bricolage, en tricot, en peinture… faites-vous plaisir et en bonus, gâtez votre entourage !

Donner de la voix
Chanter stimule le cerveau en provoquant la sécrétion d’endorphines, ces célèbres hormones du bien-être. En effet, fredonner son air préféré exerce un effet apaisant car cette mélodie que l’on apprécie et son rythme évoquent des souvenirs heureux et ravivent des images réconfortantes. Par ailleurs, chanter renforce la confiance en soi.

Belles pages
La lecture sur papier fait davantage travailler la mémoire car le cerveau est ainsi aidé par les sensations tactiles procurées par le livre. Une information qui nous conforte dans le notre plaisir à lire de vrais livres, mais aussi à continuer à écrire sur du vrai papier, dans de jolis carnets. (Source : Université de Stanvenger en Norvège). 

Mobilisez-vous
L’engagement écologique et social contribue au bonheur. En effet, les personnes qui s’impliquent sur le plan social et se préoccupent des questions environnementales se déclarent plus heureuses que les autres.
Moralité : soyez fiers d’avoir des convictions, de défendre vos valeurs et de mener des « combats » quels qu’ils soient.

Au secours de la ruche
Depuis quelques temps, le frelon asiatique est devenu un véritable fléau car il attaque les abeilles et les tue pour s’en nourrir car elles constituent pour lui une source abondante de protéines. Malheureusement, ce prédateur est difficile à combattre.
Mais un apiculteur landais a trouvé un solution très naturelle et non moins efficace pour le combattre : les poules ! S’il leur arrive de manger des abeilles tombées à terre, malades ou en fin de vie, les poules n’ont pas hésité à gober ces frelons.
Une autre arme très efficace contre ces redoutables prédateurs pourrait venir du règle végétal : une équipe du Jardin des Plantes de Nantes a en effet découvert une plante carnivore, la sarracénie, qui attire puis tue en quantité cet insecte, tout en épargnant les autres espèces. Ce piège sélectif totalement naturel promet de belles perspectives pour l’avenir. Attiré par le nectar et les phéromones situés sur la lèvre de la plantes, le frelon plonge dans l’urne (un long tube) de la feuille, glisse au fond où il restera piégé avant d’être digéré par les sucs digestifs de la plante. 

S’il te plaît, dessine-moi un gribouillis
Souvent mal perçu, le gribouillage est pourtant bien plus qu’une simple distraction très enfantine ! En effet, le fait de noircir des pages de papier contribue à l’apprentissage, à la créativité, et booste globalement la performance. Tout d’abord, il améliore la concentration en aidant le cerveau à faire plusieurs choses à la fois et en empêchant l’esprit de s’égarer.
Il augmente la productivité  en aidant à d’enregistrer plus de détails qu’en prenant juste des notes.
Il aide à être davantage dans l’instant présent en plaçant dans un état « d’écoute absolue » car il empêche l’esprit de divaguer tout en empêchant de trop réfléchir à ce que l’on entend.
C’est une forme d’expression créative très intéressante : gribouiller contribue à laisser la créativité s’exprimer.
Enfin, gribouiller aide à faire venir de nouvelles idées. Quand on butte sur un problème, le fait de gribouiller aide à voir les choses sous un autre angle, on réfléchit autrement à ce qui nous bloque. On accède de façon inconsciente à la solution.

Le bien-être est dans le pré
D’après une étude brésilienne, la camomille et le persil pourraient contribuer à améliorer les connexions cellulaires au niveau du cerveau en influençant la formation des neurones, et ainsi à protéger contre des maladies dégénératives telles que celles d’Alzheimer ou Parkinson. Ces deux plantes contiennent en effet un principe actif spécifique, l’apigénine, que l’on trouve également dans le thym et le poivron rouge.  Cette substance appartient à la famille des flavonoïdes, déjà bien connus pour leurs vertus antioxydantes, mais aussi bénéfiques pour la mémoire et l’apprentissage.  
Nul besoin d’aller chercher de nouvelles plantes exotiques donc, nous avons déjà tout dans notre potager ou les étals de nos marchés.