Les perles du Kenya
KAZURI, un bien joli nom qui peut évoquer le bleu azur… Â
En fait, Kazuri provient du Swahili et signifie « petite et jolie ». Â
C’est une Lady, Susan Wood, qui est à l’origine de cette bien belle marque de bijoux créée en 1975, au Kenya, à Karen, une localité dont le nom rend hommage à Karen Blixen, l’auteur de « Out of Africa » et dont la ferme se trouvait à proximité.
Après s’être d’abord amusée à modeler et à cuire des perles de céramique, Susan Wood s’est vite prise de passion pour ce matériau en y ajoutant une forte envie de venir en aide à des populations dans le besoin.
Elle a alors commencé à former et à faire travailler les femmes isolées et démunies de l’ethnie Kikuyu, dans cette région pauvre du Kenya.
Ses bijoux en céramique ont vite remporté un grand succès, encourageant Susan Wood à construire en 1988 un atelier dans sa propre propriété afin d’y accueillir des ouvrières.
A ce jour, Kazuri emploie 350 femmes pour la réalisation des bijoux en céramique (production des perles et montage des différentes créations).
Chacune des perles composant un collier, un sautoir, un bracelet, une boucle d’oreille est d’abord séchée, cuite au four une première fois, modelée puis émaillée à la main et cuite à nouveau avant d’être enfilée.
Ces perles peuvent être mates, brillantes ou avoir un effet nacré, obtenu grâce à un second émaillage suivi d’une troisième cuisson.
Au final, chaque bijou Kazuri est absolument unique et se décline dans une variété incomparable de teintes : safran, taupe, lie de vin, violine, mauve, bronze, kaki, vert bouteille, vert olive, gris ciment, bleu Klein…
Tous ces bijoux reflètent le travail minutieux des ouvrières qui les façonnent avec une extrême concentration. Leur beauté rend hommage aux paysages Kenyans et à la beauté des femmes Kenyanes qui les imaginent.
Kazuri a reçu le label International Fair Trade Association (IFAT) pour son engagement social et sa contribution à la création d’emplois.
Les salariées travaillant pour la marque perçoivent un salaire 3 fois supérieur aux revenus moyens de ce pays : 500 Shilings kenyans pour 7h de travail quotidien.
Tout en bénéficiant d’une couverture médicale gratuite pour elles et leur famille.
Respectueuse de l’Homme et de son environnement, Kazuri développe donc ses magnifiques parures de beauté 100% éthiques dans le cadre du commerce équitable.
  Pour savoir où trouver les créations Kazuri : http://kazurifrance.com