Aurélia WOLFF, créatrice de la manufacture de mode française Rosa Tapioca, étudie la teinture végétale depuis plusieurs années.
Ce projet représente la dernière pierre à l’édifice d’une marque de mode d’un nouveau genre qui fabrique des vêtements féminins, soignés et de qualité.
La rencontre avec Mathieu SANDANA, un ingénieur textile qui a longuement étudié les teintures végétales en Inde puis en Islande, a permis de concrétiser le projet.
Il a constaté les effets sanitaires et écologiques dramatiques que peut avoir la teinture textile industrielle et recherchait déjà des solutions à ce problème.
Ensemble, au sein de Rosa Tapioca, ils ont décidé de trouver une réponse concrète : l’idée du récupère-couleurs était née.
Malheureusement, les subventions pour les projets de développpement durables sont rares et le soutien pour la production locale et française, inexistant. Les banques et grands investisseurs financiers classiques préfèrent, quant à eux, les projets qui ont une plus grande portée lucrative.
Alors, c’est naturellement qu’ils décident de contourner les schémas standards de création, tels que le prêt bancaire, la production industrielle et l’exploitation exclusive et confidentielle: Rosa Tapioca innove et devient la première marque française à faire appel à l’ensemble des possibilités de la nouvelle économie participative
A l’origine du projet,
Aurélia WOLFF, créatrice de la manufacture de mode française Rosa Tapioca, qui étudie la teinture végétale depuis plusieurs années. Ce projet représente la dernière pierre à l’édifice d’une marque de mode d’un nouveau genre qui fabrique des vêtements féminins, soignés et de qualité. La rencontre avec
Mathieu SANDANA, un ingénieur textile qui a longuement étudié les teintures végétales en Inde puis en Islande, a permis de concrétiser le projet. Il a constaté les effets sanitaires et écologiques dramatiques que peut avoir la teinture textile industrielle et recherchait déjà des solutions à ce problème. Ensemble, au sein de Rosa Tapioca, ils ont décidé de trouver une réponse concrète : l’idée du récupère-couleurs était née.
Malheureusement, les subventions pour les projets de développement durable sont rares et le soutien pour la production locale et française, inexistant. Les banques et grands investisseurs financiers classiques préfèrent, quant à eux, les projets qui ont une plus grande portée lucrative.
Alors, c’est naturellement qu’ils décident de contourner les schémas standards de création, tels que le prêt bancaire, la production industrielle et l’exploitation exclusive et confidentielle : Rosa Tapioca innove et devient la première marque française à faire appel au financement participatif pour leur permettre de développer cette machine. Alors, soutenez-les !